Solutions d’isolation interieur appartement : techniques efficaces

Constat : jusqu’à 30% de la chaleur d’un appartement mal isolé peut s’échapper par les murs et les fenêtres ! L’isolation intérieure est une solution clé pour améliorer le confort thermique, réduire les dépenses énergétiques et combattre l’humidité. Isoler un appartement présente des défis spécifiques : espace limité, règles de copropriété, impact minimal sur la surface habitable.

Objectif de cet article : vous guider à travers les solutions d’isolation intérieure les plus performantes et adaptées aux appartements, en tenant compte de ces particularités. Nous traiterons le diagnostic initial, les réglementations, les objectifs d’isolation, les solutions pour les murs, les sols et les fenêtres, ainsi que les aides financières.

Comprendre les besoins et les contraintes d’isolation d’un appartement

Avant de commencer des travaux, il faut comprendre les besoins de votre appartement et les contraintes à prendre en compte. Un diagnostic est essentiel pour identifier les faiblesses et définir les objectifs. De plus, le règlement de copropriété peut limiter certains travaux.

Diagnostic préalable : identifier les points faibles

Un diagnostic préalable permet d’identifier les zones de votre appartement où les déperditions thermiques sont les plus importantes. Un diagnostic simple peut être réalisé soi-même, avec un thermomètre infrarouge pour détecter les zones froides, ou en observant l’humidité et la condensation. Pour une analyse précise, un professionnel réalisera une thermographie et un test d’étanchéité à l’air. Ce test, nécessitant l’accord de la copropriété s’il impacte les parties communes, localise les infiltrations d’air, responsables de déperditions thermiques.

Les zones à inspecter : murs extérieurs, planchers bas sur caves ou garages non chauffés, plafonds sous combles non isolés, fenêtres et portes. Il est important d’évaluer les ponts thermiques, zones de faiblesse situées aux jonctions murs/sols/plafonds ou autour des fenêtres. Enfin, l’humidité et la ventilation existante doivent être évaluées pour éviter la condensation et les moisissures après les travaux.

Les contraintes spécifiques de la copropriété

La vie en appartement implique de respecter le règlement de copropriété avant d’isoler. Les obligations légales et réglementaires, comme les DTU et les normes en vigueur, doivent être respectées. L’accord de la copropriété est souvent requis si les travaux modifient l’aspect extérieur (remplacement des fenêtres). Il faut également respecter les règles de sécurité incendie et les considérations esthétiques et architecturales de l’immeuble.

L’impact des travaux sur les charges communes doit être pris en compte, surtout s’ils modifient la performance énergétique du bâtiment. Par exemple, l’installation de fenêtres à triple vitrage peut impacter les besoins en chauffage de l’immeuble. Il est donc crucial de discuter des projets avec le syndic et de respecter les règles en vigueur. Cela influence les objectifs d’isolation que vous pouvez vous fixer.

Les objectifs d’isolation : confort, économies, acoustique

L’isolation vise à améliorer le confort thermique (température idéale, absence de courants d’air), réaliser des économies d’énergie (réduire les besoins en chauffage et climatisation), améliorer l’isolation phonique (atténuer les bruits extérieurs et de voisinage) et lutter contre l’humidité (éviter la condensation et les moisissures).

Selon l’ADEME, un appartement bien isolé peut réduire sa consommation d’énergie de chauffage de 15 à 25% [1]. Une bonne isolation phonique peut réduire le niveau sonore perçu de 5 à 10 décibels [2], améliorant le confort en milieu urbain. Définir clairement vos objectifs est donc primordial pour choisir la solution la plus adaptée.

Les techniques d’isolation intérieure les plus efficaces

Il existe différentes solutions d’isolation intérieure, chacune ayant des atouts et des inconvénients. Le choix dépend de l’espace disponible, du budget, des règles de copropriété et des objectifs. Examinons les solutions courantes, en détaillant leurs performances, leurs avantages et leurs inconvénients.

Isolation des murs par l’intérieur : comparaison et optimisation

L’isolation des murs par l’intérieur est une solution courante en appartement. Elle consiste à ajouter un isolant sur la face intérieure des murs pour réduire les pertes de chaleur. Différentes méthodes existent, chacune ayant ses particularités. Choisir la méthode adaptée à votre situation est primordial, en considérant l’espace, le budget et les performances souhaitées.

Doublage collé (complexe isolant + plaque de plâtre)

Le doublage collé est une solution simple et rapide à mettre en œuvre. Il consiste à coller des plaques de plâtre pré-isolées directement sur le mur existant. Cette technique est rapide, peu coûteuse et facile à réaliser. Néanmoins, elle est moins efficace, présente un risque de ponts thermiques et réduit la surface habitable.

Pour optimiser le doublage collé, il faut choisir un isolant performant : laine de verre haute densité, laine de roche ou polystyrène extrudé. Il est crucial de traiter les jonctions entre les plaques pour éviter les ponts thermiques et assurer l’étanchéité à l’air. Un doublage collé avec 80mm de polystyrène extrudé offre une résistance thermique d’environ R=2.5 m².K/W [3], ce qui améliore le confort mais peut être insuffisant pour des objectifs de performance ambitieux.

Ossature métallique (rails + montants + isolant + plaque de plâtre)

L’ossature métallique est plus performante que le doublage collé. Elle consiste à fixer une structure métallique sur le mur, à insérer un isolant entre les montants et à recouvrir le tout avec des plaques de plâtre. Elle offre une meilleure performance thermique et phonique, la possibilité de passer des gaines techniques et une meilleure étanchéité à l’air. Cependant, elle est plus complexe à installer, plus coûteuse et réduit davantage la surface habitable.

Pour optimiser l’ossature métallique, il faut choisir une épaisseur d’isolant adaptée, utiliser un isolant en rouleau ou en panneaux rigides, soigner la pose de la membrane d’étanchéité et utiliser des suspentes anti-vibratiles pour l’isolation phonique. Une ossature métallique avec 120mm de laine de verre offre une résistance thermique d’environ R=3.75 m².K/W [4], permettant une performance énergétique supérieure.

Isolation écologique (laine de bois, chanvre, lin, ouate de cellulose)

L’isolation écologique est une alternative aux isolants conventionnels. Elle utilise des matériaux naturels et renouvelables : laine de bois, chanvre, lin ou ouate de cellulose. Ces matériaux ont un faible impact environnemental, une bonne inertie thermique, régulent l’humidité et améliorent la qualité de l’air intérieur. Par contre, ils sont plus chers, leur installation est parfois plus complexe et la ouate de cellulose peut se tasser.

Pour optimiser l’isolation écologique, il faut choisir un isolant certifié, faire appel à un professionnel qualifié et prévoir un pare-vapeur adapté. Par exemple, 140mm de laine de bois offre une résistance thermique d’environ R=3.5 m².K/W [5], tout en offrant une bonne inertie thermique et une bonne régulation de l’humidité.

Panneaux isolants minces (PIM)

Les panneaux isolants minces (PIM) sont utiles lorsque l’espace est restreint. Ils sont composés d’un isolant mince recouvert d’une feuille d’aluminium. Leur principal avantage est leur faible épaisseur, permettant un gain de place. Cependant, leur performance thermique est limitée et leur coût est élevé.

Les PIM sont surtout utiles en complément d’isolation dans des zones spécifiques, comme derrière un radiateur. Ils ne peuvent pas remplacer une isolation complète des murs. Un PIM de 20mm d’épaisseur offre une résistance thermique d’environ R=0.8 m².K/W [6], ce qui est insuffisant pour bien isoler un mur.

Technique d’isolation Performance thermique (R en m².K/W pour 10cm d’épaisseur) Performance acoustique Impact environnemental Coût (€/m²)
Doublage collé (PSE) 2.8 Faible Moyen 20-30
Ossature métallique (Laine de verre) 2.5 – 4.0 Bon Moyen 35-50
Isolation écologique (Laine de bois) 2.5 – 3.0 Très bon Faible 45-60
Panneaux isolants minces (PIM) 0.4 – 1.0 Faible Moyen 50-80

Isolation des plafonds et des planchers

L’isolation des plafonds et des planchers, souvent négligée, améliore le confort thermique et phonique d’un appartement. Elle est cruciale si vous avez des voisins bruyants au-dessus ou en dessous, ou si votre appartement est au-dessus d’un local non chauffé.

Isolation du plafond (si voisin bruyant ou pièce non chauffée au-dessus)

Pour isoler un plafond, vous pouvez installer un faux plafond suspendu avec un isolant (laine minérale, laine de bois, etc.) entre le plafond existant et le faux plafond. Une autre option consiste à utiliser une isolation projetée (mousse polyuréthane, ouate de cellulose), plus rapide mais nécessitant un professionnel. L’isolation phonique est primordiale dans ce cas, il est conseillé d’utiliser des matériaux absorbants et de désolidariser le faux plafond du plafond existant. Pour une isolation phonique optimale, pensez à la laine de roche, reconnue pour ses performances d’absorption acoustique.

Isolation du plancher (si pièce non chauffée en dessous ou bruit des voisins du dessous)

Pour isoler un plancher, différentes solutions existent : une isolation sous chape (si vous rénovez le sol), une isolation flottante avec une sous-couche isolante, ou l’isolation des vides sanitaires (si accessibles). L’isolation flottante consiste à poser un isolant sur le plancher existant, puis à le recouvrir avec un nouveau revêtement (parquet, carrelage, etc.). Cette technique améliore l’isolation thermique et phonique, tout en réduisant les bruits d’impact. Pour une bonne isolation phonique, la pose d’une sous-couche résiliente est primordiale. On pourra ainsi utiliser des plaques de liège ou des matériaux synthétiques alvéolaires.

  • Isolation sous chape : Idéale pour les rénovations complètes, mais nécessite de casser le sol existant.
  • Isolation flottante : Plus simple à mettre en œuvre, mais peut augmenter légèrement la hauteur du sol.
  • Isolation des vides sanitaires : Une solution efficace si le vide sanitaire est accessible et bien ventilé.

Isolation des fenêtres : remplacer ou améliorer l’existant ?

Les fenêtres sont souvent des points faibles en matière d’isolation, responsables d’une part importante des déperditions de chaleur et des entrées d’air froid. Pour améliorer l’isolation des fenêtres, deux solutions s’offrent à vous : les remplacer par des modèles plus performants ou améliorer l’isolation des fenêtres existantes. Voici une photo d’une fenêtre double vitrage performante pour illustrer les possibilités :

Fenêtre double vitrage à isolation renforcée

Remplacement des fenêtres

Le remplacement des fenêtres est la solution la plus performante pour améliorer l’isolation thermique et phonique. Il est conseillé d’opter pour des fenêtres à double ou triple vitrage à isolation renforcée (VIR), qui offrent une meilleure performance thermique. Préférez des menuiseries en PVC, bois ou aluminium à rupture de pont thermique, qui réduisent les pertes de chaleur au niveau du cadre. Veillez enfin à l’étanchéité à l’air lors de la pose.

Le coût moyen du remplacement d’une fenêtre double vitrage est d’environ 400€ à 800€, pose comprise [7]. Cela peut engendrer une réduction de 10 à 20% de la facture de chauffage.

Amélioration de l’isolation existante

Si le remplacement n’est pas envisageable, vous pouvez améliorer l’isolation des fenêtres existantes en posant du survitrage, en installant des films isolants ou en calfeutrant les fenêtres et les portes. Le survitrage consiste à ajouter une seconde vitre sur la fenêtre existante, améliorant son isolation thermique et phonique. Les films isolants sont des films plastiques transparents qui se collent sur la vitre et réduisent les pertes de chaleur. Le calfeutrage consiste à boucher les fissures et les joints autour des fenêtres et des portes pour éviter les courants d’air.

Focus sur les volets et les rideaux

Les volets et les rideaux peuvent contribuer à l’isolation d’un appartement. Les volets sont particulièrement efficaces pour l’isolation nocturne, car ils créent une barrière contre le froid. Les rideaux thermiques, doublés d’une matière isolante, réduisent les déperditions de chaleur à travers les fenêtres.

Type de vitrage Ug (Coefficient de transmission thermique en W/m².K)
Simple vitrage 5.8
Double vitrage standard 2.8
Double vitrage à isolation renforcée (VIR) 1.1
Triple vitrage 0.6

Conseils et astuces pour une isolation réussie

Une isolation réussie ne se résume pas au choix des matériaux et des solutions. L’étanchéité à l’air, la ventilation et la gestion des ponts thermiques sont également essentielles. Découvrez des conseils et astuces pour réaliser une isolation performante et durable.

L’importance de l’étanchéité à l’air

L’étanchéité à l’air est cruciale pour une isolation efficace. Les fuites d’air réduisent considérablement les performances de l’isolation, en créant des courants d’air froid et en favorisant les pertes de chaleur. Il faut donc identifier et colmater les fuites d’air avec des mastics, des joints ou des membranes d’étanchéité.

Pour identifier les fuites d’air, vous pouvez réaliser un test d’infiltrométrie (test d’étanchéité à l’air) : le logement est mis en surpression ou en dépression, et les infiltrations d’air sont mesurées. Ce test permet de localiser précisément les fuites et de les corriger. Un logement mal isolé peut avoir un taux de renouvellement d’air de 1 à 2 volumes par heure, alors qu’un logement bien isolé devrait avoir un taux inférieur à 0.6 volume par heure [8].

  • Utiliser des mastics et des joints pour colmater les fissures autour des fenêtres et des portes.
  • Poser des membranes d’étanchéité à l’air sur les murs et les plafonds.
  • Vérifier l’étanchéité des prises électriques et des interrupteurs.

La ventilation : indispensable pour la qualité de l’air intérieur

La ventilation est indispensable pour la qualité de l’air intérieur. Une bonne isolation peut rendre le logement étanche, entraînant une accumulation d’humidité et de polluants. Un système de ventilation efficace, comme une VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) simple flux ou double flux, est donc indispensable. L’installation d’une VMC est recommandée pour assurer un renouvellement de l’air intérieur constant. La VMC simple flux est la solution la plus courante, mais la VMC double flux permet de récupérer la chaleur de l’air extrait pour préchauffer l’air entrant.

La VMC simple flux extrait l’air vicié de l’intérieur et le rejette à l’extérieur, tandis que la VMC double flux récupère la chaleur de l’air extrait pour préchauffer l’air entrant. La VMC double flux est plus performante énergétiquement, mais plus coûteuse. L’entretien régulier de la VMC (nettoyage des bouches d’extraction et remplacement des filtres) est essentiel.

Gérer les ponts thermiques : un défi crucial

Les ponts thermiques, zones de faiblesse de l’isolation, sont situés aux jonctions murs/sols/plafonds ou autour des fenêtres. Ils sont responsables d’une part importante des déperditions de chaleur et peuvent favoriser la condensation et les moisissures. Il est donc important de les identifier et de les traiter. Par exemple, l’utilisation de rupteurs de ponts thermiques permet de limiter ces déperditions au niveau des liaisons entre les différents éléments de construction.

Pour traiter les ponts thermiques, vous pouvez isoler les angles des murs, utiliser des rupteurs de ponts thermiques ou réaliser une isolation par l’extérieur (si possible et autorisé par la copropriété). L’isolation par l’extérieur est la solution la plus efficace, mais aussi la plus coûteuse et contraignante.

Choisir les bons matériaux : critères de sélection

Le choix des isolants est crucial pour garantir la performance et la durabilité de l’isolation. Plusieurs critères sont à considérer : la performance thermique (lambda, R), la performance phonique, l’impact environnemental (ACV), la durabilité, la résistance à l’humidité, la facilité de pose et le coût.

  • Performance thermique : Le coefficient lambda (λ) mesure la conductivité thermique du matériau. Plus le coefficient est faible, plus le matériau est isolant. La résistance thermique (R) mesure la capacité du matériau à résister au passage de la chaleur. Plus la résistance est élevée, plus le matériau est isolant.
  • Performance acoustique : Le matériau doit pouvoir absorber les bruits et réduire les transmissions sonores.
  • Impact environnemental : Le matériau doit être fabriqué à partir de ressources renouvelables, recyclable et avoir un faible impact sur l’environnement tout au long de son cycle de vie.
  • Durabilité : Le matériau doit être résistant aux intempéries, aux insectes et aux rongeurs, et conserver ses performances dans le temps.
  • Résistance à l’humidité : Le matériau doit pouvoir résister à l’humidité et éviter la condensation et les moisissures.
  • Facilité de pose : Le matériau doit être facile à manipuler et à installer, pour réduire les coûts de main d’œuvre.
  • Coût : Le matériau doit être abordable et offrir un bon rapport qualité-prix.

Aides financières et réglementations en vigueur pour l’isolation appartement

L’isolation d’un appartement représente un investissement, mais des aides financières sont disponibles. Des réglementations thermiques encouragent la rénovation énergétique des bâtiments.

Les aides financières disponibles

Les principales aides financières : MaPrimeRénov‘, les Certificats d’économies d’énergie (CEE), l’Eco-prêt à taux zéro (Eco-PTZ) et les aides locales et régionales. MaPrimeRénov‘ est une aide versée par l’État aux propriétaires occupants et aux copropriétaires pour des travaux de rénovation énergétique. Les CEE sont des aides versées par les fournisseurs d’énergie aux particuliers réalisant des travaux d’économies d’énergie. L’Eco-PTZ est un prêt à taux zéro pour financer des travaux de rénovation énergétique. Enfin, certaines collectivités locales et régionales offrent des aides complémentaires.

Il est important de vous renseigner sur les conditions d’éligibilité et de monter un dossier de demande en bonne et due forme. Un conseiller France Rénov‘ peut vous accompagner dans ces démarches.

Les réglementations thermiques en vigueur

La RT existant est la réglementation thermique pour les rénovations de bâtiments existants. Elle fixe des objectifs de performance énergétique à atteindre. Le Diagnostic de performance énergétique (DPE) évalue la performance énergétique d’un logement et est obligatoire lors de la vente ou de la location.

Depuis le 1er janvier 2023, la loi Climat et Résilience interdit la location des logements les plus énergivores (classe G). Les propriétaires doivent réaliser des travaux pour pouvoir les louer. Il est donc important de se tenir informé des réglementations et de réaliser un audit énergétique pour connaître les travaux à réaliser.

Bien isoler son appartement : un investissement pour l’avenir

En conclusion, une isolation intérieure performante pour un appartement est un investissement judicieux, améliorant le confort, réduisant les factures et valorisant le bien. Les techniques présentées, du doublage collé à l’isolation écologique, offrent des solutions variées.

Il est crucial de prendre en compte les contraintes liées à la copropriété, l’espace disponible, le budget et les objectifs en termes de confort thermique et acoustique. N’hésitez pas à solliciter l’avis de professionnels qualifiés pour réaliser un diagnostic précis et vous accompagner dans le choix des matériaux et des techniques les plus adaptés. Avec une bonne planification et une mise en œuvre soignée, vous pourrez profiter pleinement des avantages d’une isolation intérieure réussie.

[1] Source : ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie)

[2] Source : CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment)

[3] Source : Fabricant Polystyrène Extrudé

[4] Source : Fabricant Laine de Verre

[5] Source : Fabricant Laine de Bois

[6] Source : Fabricant Panneau Isolant Mince

[7] Source : Prix constatés sur le marché

[8] Source : Norme NF EN 13829